Évènements

Actualités

Éthiopie : se rassembler pour changer les normes sociales et lutter contre les mutilations génitales féminines

Bereket Merihun, 19 ans, est en cinquième dans un école du district d’Alata Chuko, dans la région de Sidama (Éthiopie). © Norwegian Church Aid
  • 09 Septembre 2022
1

Actualités

« Avoir des rêves et se battre » : au Costa Rica, une infirmière afrodescendante aide les femmes marginalisées

Siannie Palmer Miller est infirmière en soins obstétriques et gynécologie. Son travail permet de favoriser la santé et de défendre les droits des femmes marginalisées, notamment les femmes autochtones et afrodescendantes. © UNFPA/Gabriela Rodríguez, Juan Manuel Fernández
  • 29 Août 2022
1

Journée internationale des personnes d’ascendance africaine 2022

31 Août 2022

Global

1

Actualités

Moldavie : réduire la fracture numérique et l’écart intergénérationnel

Catalina Neghina, qui est bénévole, montre à son ancienne enseignante Elena Gobjila comment naviguer en ligne sur ton téléphone portable. Dans toute la Moldavie, le projet Digital Skills Connect Generations met les jeunes en lien avec les personnes âgées, pour réduire la fracture numérique et encourager le dialogue intergénérationnel. © UNFPA Moldavie/Adriana Bîzgu
  • 12 Août 2022
1

Actualités

Au Costa Rica, de jeunes leaders autochtones ouvrent la voie à un avenir meilleur pour les femmes et les filles

En sa fille, Mme Gallardo voit l'avenir. © UNFPA Costa Rica/Gabriela Rodríguez
  • 05 Août 2022
1

Déclaration

Déclaration de la Coalition d’action sur la liberté de disposer de son corps et la SDSR du Forum Génération Égalité sur le renversement de l’arrêt « Roe v. Wade »

03 Août 2022

1

Actualités

Plaidoyer pour la santé et les droits sexuels et reproductifs en Égypte

Les membres d'un club de jeunes soutenu par l'UNFPA en Egypte se produisent lors d'une session de sensibilisation sur les droits et la santé en matière de sexualité et de reproduction. © UNFPA Égypte
  • 28 Juillet 2022
1

Ferring

A woman holds a baby.

Chaque année, 70 000 femmes meurent d’une hémorragie après avoir accouché (hémorragie post-partum), principalement dans les pays à revenu faible et intermédiaire de la tranche inférieure. La majeure partie de ces décès pourraient être évités grâce à des approches préventives. Malheureusement, cela n’est pas toujours possible dans les situations de crise humanitaire, notamment en cas de conflit, de catastrophe naturelle ou d’urgence de santé publique.

Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) et l’entreprise pharmaceutique Ferring partagent le même objectif : œuvrer à l’élimination des décès maternels évitables. Rendre la maternité plus sûre constitue un impératif du point de vue des droits fondamentaux. Cette ambition n’est réalisable que si toutes les femmes, où qu’elles vivent, ont accès à des soins et des traitements de qualité pendant leur grossesse et leur accouchement. C’est dans ce 

contexte que l’UNFPA collabore avec Ferring à la constitution d’un corpus de données concernant l’administration sans danger de nouvelles molécules telles que la carbétocine stable à température ambiante en prévention des hémorragies post-partum (après l’accouchement), dans des contextes de crise humanitaire et de ressources limitées, comme en Ouganda et au Soudan du Sud. Les deux organisations entendent ainsi contribuer à assurer un accès à des accouchements sans risque dans les environnements les plus précaires. Cette collaboration fait également suite à l’engagement pris par Ferring lors du 25e anniversaire de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD25), célébré en novembre 2019.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a démontré que le recours à un agent utérotonique de qualité pouvait prévenir la majorité des complications liées aux hémorragies post-partum au troisième stade du travail. La carbétocine stable à température ambiante n’a pas besoin d’un stockage ou d’un transport réfrigéré, ce qui peut s’avérer vital dans les régions aux températures élevées ou dans lesquelles les sources d’alimentation électrique ne sont pas toujours fiables.

La carbétocine stable à température ambiante est recommandée pour tous les accouchements en complément de l’ocytocine et du misoprostol en prévention des hémorragies post-partum, dès lors que son coût est comparable à celui d’autres utérotoniques efficaces. L’OMS a mis à jour ses recommandations en matière de prévention de l’hémorragie post-partum en 2018 afin d’y inclure l’administration de carbétocine et a ajouté la formulation de la carbétocine stable à température ambiante aux utérotoniques figurant dans la liste des médicaments essentiels en 2019.

Soudan du Sud

Dix ans après l’indépendance du Soudan du Sud, plusieurs régions du pays connaissent encore un niveau de violence effarant. Selon le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), près de 1,6 million de personnes déplacées à l’intérieur du pays et 345 000 rapatriés rentrés spontanément au Soudan du Sud sont touchés par ces violences et sont à la recherche d’un refuge. Le pays affichait en 2017 un ratio de mortalité maternelle de 1 150 décès pour 100 000 naissances vivantes. Le projet porte sur six centres de santé qui accueillent la majeure partie des personnes déplacées. Au total, ces établissements enregistrent pas loin de 600 naissances par mois.

Ouganda

Du fait des conflits régionaux, des habitants de plus de huit pays différents ont dû chercher refuge et demander l’asile dans les régions Nord et Nord-Ouest de l’Ouganda. Selon un rapport du HCR, le pays hébergeait plus de 1,4 million de réfugiés et de demandeurs d’asile en janvier 2021. D’après des statistiques de la plateforme Knoema, l’Ouganda a enregistré en 2017 un ratio de mortalité maternelle de 375 décès pour 100 000 naissances vivantes. Pour l’Ouganda, le projet concerne six établissements destinés à la fois aux réfugiés et aux ressortissants du pays, situés au sein ou à proximité des principaux camps de réfugiés de Bidibidi et Mvepi. Au total, ces établissements de santé enregistrent 235 naissances par mois. 

Special Olympics

Young girls playing football

Le partenariat grandissant entre l’UNFPA et Special Olympics a été officialisé par la signature d’une convention à l’occasion du Sommet de Nairobi en novembre 2019. Il traduit une détermination commune à autonomiser les jeunes handicapés mentaux, en particulier les filles et les femmes, afin qu’ils bénéficient d’une meilleure protection sociale et de services de santé plus performants.

Ce partenariat s’emploie à élaborer des programmes inclusifs et à promouvoir le leadership éclairé et la communication en mettant l’accent sur le développement positif des jeunes, l’égalité des sexes, ainsi que l’autonomisation des femmes et l’engagement des familles au service d’une santé inclusive.

L’UNFPA et Special Olympics collaborent dans différentes régions du monde pour mettre en œuvre des initiatives conjointes. Le projet « Come On, Play! », par exemple, mené en partenariat avec le Shakhtar Football Club, enseigne le football à des jeunes filles handicapées mentales dans quatre villes d’Ukraine, et utilise le sport pour favoriser l’inclusion et le renforcement de l’estime de soi. « Ces filles sont pleines d’énergie positive après les entraînements, et nous aussi », témoigne Danylo Sikan, un des footballeurs participants.

Actualités

Un nouveau rapport confirme que les inégalités de genre et de revenus sont à la source de la maternité adolescente dans les pays en développement

Haïti – Lumilene*, 15 ans, vit avec ses parents et sa fille de six mois dans un camp de personnes déplacées par le tremblement de terre qui a frappé Haïti en 2010. Elle est l’une des nombreuses enfants mères du camp, où sévit la violence faite aux femmes et aux filles. © UNFPA/Plan International/Pieter ten Hoopen
  • 05 Juillet 2022
1

Nous utilisons des cookies et d'autres identifiants pour améliorer votre expérience en ligne. En utilisant notre site web vous acceptez cette pratique, consultez notre politique en matière de cookies.

X